Le blog de mauvaisefoidujour

L'autopsie du corps de la victime a montré que la balle d'un calibre de 9 mm était entrée par la fesse gauche, avait touché les intestins et le foie avant de provoquer une hémorragie massive qui est à l'origine du décès.

Lors de sa garde à vue, le policier a expliqué avoir eu peur et avoir tiré au jugé pour se défendre. Les amis de la victime parlent d'un "tir volontaire" à une distance de quelques mètres. Lors de son interpellation, le gardien de la paix présentait un taux d'alcoolémie positif de 1,26 g/l de sang.

Ce que l'on ne dit pas, c'est qu'il était donc par terre, (trajectoire de balle ascendante), mais il est évident que nous avions affaire à de gentils jeunes et un méchant policier!

P.S:Bien que la garde des sceaux ait déclaré que l'enfermement n'était pas une solution, lui c'es sûr, il est pas près de revoir la lumière du jour.

... et dire que c'était la guerre de mon premier mandat.

Et non, le Mali, c'est pas fini, ce n'est même que le début! Mais bon, les médias n'en parlaient que quand "c'était bien" et que ça servait la cote de popularité de normal Ier.

Maintenant que ça "s'afghanise", c'est moins drôle, on en parle plus.

Et puis, on pourrait voir que notre belle armée que l'on a montré pleine de ressources n'en a pas tant que ça, des ressources.

Les solutions entendues hier soir sur propagande TV:

"Il faut réduire les dépenses de l'état".

Solutions données:

1. augmenter les impôts

2. augmenter les impôts

3. augmenter les impôts

Selon les informations recueillies par Europe 1, le légionnaire français du 1er REC, le régiment étranger de cavalerie basé à Orange dans le Vaucluse, a bien été puni de 40 jours d'arrêt et rapatrié en France après avoir été photographié à Niono au mois de janvier avec un foulard à tête de mort sur le visage, confirmant une information du blog spécialisé Le Mamouth et du Midi Libre.

Cette sanction a été prise par l'état major des armées car il ne s'agit pas d'un élément réglementaire de l'uniforme militaire, mais contre l'avis du chef de corps. En réalité, ce foulard a été acheté sur le bord de la route par ce soldat afin de se protéger de la poussière.

Le photographe de l’Agence France Presse a expliqué sur le site de l'AFP, le contexte dans lequel il a pris ce cliché : "sur le moment je n’ai pas trouvé la scène particulièrement extraordinaire, ni choquante. Le soldat ne posait pas. Il n’y a aucune mise en scène dans cette image. Le gars ne faisait que se tenir là, en se protégeant le visage de la poussière, en attendant qu’un hélicoptère se pose".

"Il y a pire qu'un peuple asservi, c'est un peuple habitué"

Charles Péguy